mercredi 30 septembre 2009

Les changements climatiques

Le délai de l’arrivée de la mousson, la sécheresse, les inondations se présentent dans une manière sans precedent. Tous ces changements de l’environnement depuis des dernières années tracassent le monde entier et le mettent en mausvaise passe. Dans ce cas, est-ce que que les négociations climatiques au niveau mondial sont nécessaires afin de combattre les problèmes de l’environnement? On va d’abord analyser si ce serait faisable, en donnant les pistes s’il y en a.

Au cours du mondialisation et de l’industrialisation rapides, les principales économies et les pays les plus puissants contribuent le plus aux émissions de gaz à effet se serre. Il reste surtout à eux, à prendre des petits pas, non seulement pour s’engager à réduire leurs émissions de gaz, mais aussi montrer le chemin aux autres pays en voie de devéloppement. Ce n’est pas dificile pour eux, considérant leur pouvoir financier. Il s’agit pour ces pays, qui sont les gros pollueurs, d’assumer la hégémonie et lancer des initiatives: utiliser les énergies renouvelables et renoncer aux voitures parmi d’autres mesures.

Quand même, arriver à une seule solution est presque impossible. En plus, comment être sûr que les Etats-Unis, par exemple ont redoublé les efforts comme ils le prétendent? Quel pays va prendre une position circonspecte et va régler les émissions?

Cependant, cet accord des pays vaut le coup. Ce n’est pas juste en air que le Kyoto Protocol--visé à réduire le rechauffement de terre en donnant des incentives--a été signé par 37 pays. L’aide des pays dévéloppés, sans doute, porte une valeur inéstimable, mais il reste à voir si avoir les yeux rivés aux résultats immédiates serait très optimiste. Mais pourquoi pas? Mumbai vient de gagner Rs 23 crore de crédits de carbons pour ses efforts d’enlever les detritus d’une manière scientifique.

mercredi 23 septembre 2009

Le travail à domicile

On bouge aujourd’hui sous l’ombre d’une crise économique sans précédent. Comme tous les domaines qui sont obligés de faire des économies en faisant quelques ajustements, les bureaux commerciaux ne sont pas des exceptions, non plus. Le travail à domicile, profiterait-il, les gens? On y répondra en voyant les points positifs, suivi par les points négatifs et puis essayera de trouver une solution.

Donné la situation économique, tous les établissements se consacrent à un seul but: ne pas déclarer la faillite. Afin de réaliser cet objectif, les employés sont encouragés de travailler de chez eux. Ce qui était auparavant considéré un luxe devient une nécéssité budgétaire. Ajoutez à cela quelques jolis cadeaux: ne pas passer des heures en trajet, avoir le temps libre, et avoir la souplesse et la liberté en travaillant, sans être étouffé par la surveillance pérénielle du patron. Cela peut devenir un moyen de soutenir la croissance du bureau sans multiplier les coûts fixes.

Au contraire, ce phénomène restreint la vie. Même si on a l’impression qu’on est avec sa famille, la vie professionelle envahit la vie personelle. Les gens risquent d’être accros au travail avec un Blackberry à la main et l’ordinateur devant les yeux tout le temps. En plus, on ne sait pas si faire des économies dans cette manière ferait une grande différence. En outre, ce serait mauvais pour la santé, pas oublier la perte du contact avec les collègues. Sans avoir les réactions des autres, on ne saurait pas où on est rangé dans l’hiérarchie du bureau.

Enfin, c’est aux parents de décider s’ils veulent jéter un coup d’oeil aux enfants. Ou bien, considérér cette option, en espérant que ce n’est qu’un étourdissement.

samedi 19 septembre 2009

La violence chez les enfants/jeunes



Les attaques à Virginie Tech Université par un jeune de 23 ans qui a tué d’un coup de feu plusieurs étudiants de son campus avant de se suicider ne tomberont jamais dans l'oubli. Après cet épisode, un tas de théories devinant les raisons ont été donné par des experts. A part de critiquer la loi, les règles strictes et le manque de surveillance chez les universités américaines, ils ont aussi remarqué que les profs auraient pu éviter ce massacre, s’ils avaient bien observé cet étudiant.

Donc, est-ce qu’on peut dire que la mode d’organisation d’une école, lui-même, serait propice à la délinquance? Les écoles, à moins qu'elles soient libérées de l'intimidation et de la répression, elles ne pourraient pas faire leur devoir d'être une espace du savoir et de la socialisation.

Alors, le système scolaire, consistant des enseignants, pourrait-il jouer un rôle important d’aider réduire ou bien déraciner le penchant vers la violence dès l’enfance?

Aujourd’hui, il ya l’exposition à toutes sortes de violence dans les films, jeux de vidéos etc. A l’école--parce que le système educatif ne fait que l’emphasis sur les points à l’examen—-les étudiants qui ne sont pas aussi doués que les autres, trouvent difficile de s’adapter et souffrent psychologiquement. Souvent, les enfants qui sont violents viennent des familles violentes ou cassées. Par conséquent, ils utilisent la seule méthode de convaincre qu’ils connaissent: c’est utiliser de la force (souvent comme un méchanisme de défense), soit avec leurs profs, soit avec leurs camarades. En plus, pour faire croire qu’on est puissant, un enfant qui grandit en étant tyrannisé par l’autre, devient tyrant lui-même- un cercle visieux.

De toute façon, puisque les enfants dépensent la plupart de leur journée à l’école, les enseignants jouent un rôle important en leur dévéloppement. S’ils acceptent chaque enfant comme unique en identifiant son propre problème et font des efforts spéciaux pour exploiter la capacité individuelle, cela augmenterait l'auto-confiance d’un enfant. Ils doivent aider les enfants gérer leur colère dans une manière pas violente, tandis qu’ils essaient de les montrer le bon chemin. C’est possible, étant donné que l’instituteur ne s’intéresse qu’aux élèves.

Néanmoins, la société, qui souligne les rôles des personnes est la plus responsable pour la manière dont l’enfant réagit. Les phrases commes « les garçons ne pleurent pas » ou bien « soyez un homme (soyez macho/violent) » sont trompeuses.

lundi 7 septembre 2009

Les jeunes et SIDA


Les jeunes d’aujourd’hui savent beaucoup plus qu’on n’a même pas osé savoir a cet âge-là. Leur enthousiasme de faire connaissance à tout ce qui se passe dans le monde autour d’eux, même si assez louable, en quelques instances, ça peut porter un risque énorme. Ce qui est plus inquiétant est plutôt leur attitude désinvolte envers les rapports sexuels parmi d’autres choses. Ces problèmes qui font partie d’une terre mondialisé sont inévitables et quand- même doivent être s’occupés d’une façon balancée.

Donc, comment est-ce qu’on peut faire face à cette pandémie fatale—le SIDA--qui plague le monde entier à ce moment? Pourrait-on empêcher l’expansion du SIDA en informant mieux les jeunes? Moi, je pense que oui. C’est leur enthousiasme d’être armé de la connaisance qui peut faire le sauvetage des jeunes. Mais, il faut que les informations et les dangers soient transmis dans une manière qu’ils comprennent. En outre, il faut mettre à l’esprit l’aspect sociale, culturel et psychologique.

Notre société considère toujours le SIDA comme un stigmate. C’est plutôt à cause du manque d’info. Même aujourd’hui, c’est l’honte d’aborder le sujet du sexe, cela empêche plusieurs personnes d’aller chercher les testes de VIH ou même retourner pour les résultats du teste ou prendre le traitement. A cause de cela, ce qui pourrait être eu une malaise assez maniable devient au contraire, un rapprochement vers la mort pleine de douleur.

Au même temps, il ya des idées fausses quant à la diffusion du SIDA. A l’un côté c’est cru que SIDA est transmis seulement aux homosexuels, à l’autre côté, on pense que c’est criminel. En plus, il ya la confusion parmi les jeunes qui croient que les pilules les protégeraient. C'est évident dans les colomnes de sexe, si populaires, dans les journaux.

Selon moi, les jeunes —-qui sont déjà sourchargés de l’information —-doivent être juste montré le chemin. On doit les sensibiliser. Ils sont déjà habilités de la connaissance, mais l’aide des ONGs, des dialogues avec les parents etc peuvent leur rendre plus puissants pour faire un « demain fort ».

Personne ne les arrête de faire l’amour au lieu de la guerre. En fait, les grands hommes l’a fait avec un grand succès. Mais en le faisant, souvenons-nous de juste deux mots : prenons-soin! :)

dimanche 6 septembre 2009

La langue: un miroir de la société

Mais fini de s’imposer notre propre censure, on n’a pas de sang sur les mains
Alors pourquoi ne pas être sûrs qu’on est sur le bon chemin
Nous n’étions pas forts mais ce passé nous a formés et plus jamais je me marre
Quand j’entends cette phrase résonnait : “Je te jure ça peut chémar”.

--GCM


Rappeur et poète Grand Corps Malade ou bien GCM--le visage des jeunes Français d’aujourd’hui--parle leur langue qui est pleine d’argots et de verlans. Comme la langue refléte toujours la société et la culture, les gens qui parlent la même langue ont une mentalité de s’appertenir. C’est peut-être la raison pourquoi GCM est si populaire avec des jeunes.

Mais ce n'est pas toujours si simple que cela. Souvent, la langue--qui est vraiment créée pour faciliter l’interaction dans la civilisation—devient une mode de fragmenter la société. Donc, est-ce que la fracture linguistique pourrait-elle être considérée comme la fracture sociale?

En France, dans les banlieus, des immigrés se sentent eloignés des Francais de louche. Après de longues années d’être dominé par la plupart de gens et d’être étouffé par l’autorite, ces communautés veulent révolter dans toutes les domaines. A cause de cela, ils développent leur propre identité ; ça peut faire partie soit de leur propre culutre, soit de leur propre cuisine, soit tout simplement de leur propre langue : tout ça virer à révolter contre les règles désignées par cette société dominante.

Mais ce qui arrive après ce changement du langage est plus dangereux, car ces nouveaux groupes deviennent de plus en plus isolés des autres, les rôles des dominants et les dominés inversent et les deux n’arrivent pas à se comprendre. Même si les membres du groupe marginalisé peuvent s’identifier, ils risquent d’être marginalisé en large. C’est pourquoi, il faut faire remarquer aux étudiants dès qu’ils sont jeunes, la sanctité d’une langue.

Ici en Inde, en grandissant, on a toujours entendu parler de cette blague : les Anglais one quitté l’Inde, mais ont oublié emmener avec eux, leur langue Anglaise. Et nous, à notre part, avons non seulement bien adapté à cette langue mais ont aussi fait les modifications. Voilà, nous avons donc créé notre propre Indian English et je suis aussi secrèttement fière des additions de nos mots dans l'Oxford. Mais la puriste que je suis, je ne supporte pas quand les enfants utilisent trop de slang en écrivant des choses formelles comme un examen. Pour moi, c’est la vrai fracture linguistique qui est la fracture sociale.

mardi 1 septembre 2009

L'internet, va-t-il tuer la presse?

Illustration caption: 'Even coachmen in England read newspapers', complained the Hindi press. Here the contrast between indifferent Indians and eager readers abroad is supported by publication figures: 5000 copies are considered a success in India, while, 1,50,000 are commonplace abroad.
(Source: Chămd, XVI pt. 2, 6 May, 1939)

Readers’ Digest, le magazine connu dans le monde entier pour ses histoires inspirationelles et pour l’intêret general qu’il crée, a annoncé ce mois, qu’il va déclarer la faillite. Readers’ Digest, malheuresument, n’est pas le seul moyen de transmission d’infos qui souffre à ce moment et qui demande l’aide du gouvernement. On peut dire que la mort de la presse écrite est officiellement commencée, même comme elle fait face au danger de l’augmentation des internautes.

Il y a centaines de journaux autour du monde, surtout aux États-Unis, qui ont besoin de tirer d’affaire. Le danger posé par la naissane récente de l’internet et sa popularité soudaine et immense a retardé l’accroisement de la presse érite. Ce phenomène est devenu encore pire depuis l’année dernière quand l’économie globale s’est touchée du bas.

Comme je suis journaliste, je peux voir autour de moi une sorte de peur parmis mes comarades. On peut sentir que le jour n’est pas très loin quand l’internet va remplacer totalement la presse écrite. Cet inquiétude est vue partout. Le grand journal Wall Street Journal (peut-être le seul journal) fait payer l’abonnement pour son édition en ligne. La comité des autres journaux va bientôt prendre la décision s’ils veulent suivre ce modèle, ou tout simplement, demander au gouvernement d’intervenir. La comité pense qu’en allant en ligne Wall Street prend des pas injustes et affecte leur ventes.

La situation en Inde n'est pas très différente avec les journaux qui mettent leur édition en ligne et essaient d'atterir les ads dans cet espace. Mais, la seule consolation pour l’Inde est que ce dévéloppement serait un peu moins vite qu’aux autres pays. On éstime que c’est parce que la presse écrite est née en Inde plusieurs années après qu’elle était née dans l’ouest ou ailleurs. En plus, le pourcentage de personnes qui a accès à l’internet est tellement bas ici. Mais, comme on vit dans un village global, la tendance ne va pas prendre longtemps avant qu’elle commence à suivre le chemin vers notre pays.

Le problème est que ce n’est pas obligatoire pour l’internet a suivre de vrai règles, les écrivains ont une sorte de liberté qui peut avoir des conséquences néfastes. Dans la presse écrite, au contraire, un article est vu, corrigé et revue par plusieurs personnes avant qu’il soit mis sur le page. En fait, le chef d’organisation n’est pas seulement responsable pour chaquqe chose qui est publieé, mais it peut même être poursuivi en justice.

Heureusement, la demande pour la presse écrite n’est pas encore entièrement assassiné et son destin n’est pas nécessairement voué à l’échec. La presse a toujours le pouvoir de retenir ses fidèles, si elle essaie un peu.
Hindustan Times, par exemple, a récemment changé son apparance en disant que les nouvelles et les journaux ne doivent pas être nécessairement ennuyants. Et bien sûr, ça peut arriver. Après tout, qui ne veut pas se réveiller à l’arome du thé ou du café et le boire à petits gouts, un journal à la main?